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06 Jan
06Jan

52 acheteurs du projet commun "Ketar Harama" des sociétés "Nativ et Shapir" dans le quartier Ramat Beit Shemesh 4, sont confrontés à une demande de renoncer à l'achat de leurs appartements ou de faire un compromis sur des appartements alternatifs, ceci suite à un retard dans la construction lorsque la moitié du projet est resté au point mort.

Selon l'entreprise, cela est dû à un manque de main-d'œuvre depuis le début de la guerre, mais certains acheteurs affirment que le retard est dû à un conflit économique, comme l'a souligné Shapir dans un rapport trimestriel sur un différend juridique avec Nativ, lorsque les entreprises tentent de rompre le partenariat.

Les acheteurs, qui ont acheté des appartements en pré-construction dont ils prétendent qu'ils valent aujourd'hui environ un demi-million à un million de NIS de plus, se sont légalement unis pour répondre à leurs demandes, se plaignant de maigres indemnisations pour l'annulation de la transaction ou d'offres de transfert des droits sur les appartements qui ils prétendent que les appartements spéciaux qu'ils ont achetés ne valent pas la peine.

Dans le même temps, les gagnants du « prix pour le locataire » du projet n'ont pas encore choisi d'appartements.

Source - LeMarqueur

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